Mauritanie: Le futur Président mauritanien sera l’un des membres du quarté des officiers de l’Académie royale militaire de Meknès (détails)

mer, 22/11/2017 - 19:20

Certains médias nationaux et internationaux, y compris le magazine « Jeune Afrique », entrevoient avec une perception utopique,  une personnalité civile, présider aux destinés du la Mauritanie, au terme de l'élection présidentielle post 2019, après l’expiration de l’actuel et second mandat du Chef de l’Etat mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz.

Des prévisions qualifiées par certains analystes, bien édifiés sur la vie politique mauritanienne, de faibles, voire même d’impossibles, dans un Etat très vaste, multiethnique,  dispersé et aux spécificités complexes, mais également exposé aux conspirations visant son implosion et sa partition en plusieurs entités, voire même sa disparition totale de la carte, comme Etat souverain, jouissant d’une séculaire et riche civilisation.

Des défis qu’aucun civil ne peut relever affirment les observateurs précités, selon lesquels, le futur Président mauritanien, sera incontestablement l’un des membres du quarté des officiers mauritaniens, fortement soudés,  formés par l’Académie royale militaire de Meknès, au Maroc.

Les mêmes analyses estiment, qu’au cas où l’actuel Chef de l’Etat décide à passer le règne à son potentiel successeur, qui tiendra l’engagement de mener le pays suivant le même processus de prospérité et de bien-être réalisé, il s’effacera devant l’un de ses amis d’armes intimes de l’Académie royale militaire de Meknès, en l’occurrence le Général de division Ould Ghazouani, le Général de division Dah Ould El Mamy ou le Général Mohamed Znagui Ould Sidi Ely (Secrétaire Général du G5 Sahel).

C’est bien à ce quarté, que reviendra, en groupe ou en solo, le privilège de préparer à moyen et long termes, l’alternance politique, qui permettra un doux transfert du pouvoir aux civils ; ce qui, selon les mêmes observateurs, demandera des années de préparation, pour parer définitivement à tout risque de voir le pays basculer de nouveau dans l’ère de l’instabilité et des coups d’Etat.

Taqadoum

 

 

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