
L'agence de presse « Taqadoum » a appris auprès de sources généralement bien informés, l’existence de craintes et de vigilance décuplée du gouvernement, des services sécuritaires et des milieux politiques nationaux, quant à la possibilité de l’ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz, de préparer clandestinement et de mobiliser des fauteurs de troubles pour déstabiliser la sécurité et la stabilité dans le pays et par conséquent, se frayer un chemin de non droit sur la scène politique.
Une éventualité fort probable de l’ex homme fort de Nouakchott après avoir été abandonné par ses anciens fidèles et partisans issus de divers milieux officiels, économiques, politiques et civils.
Une hypothèse renforcée également par le ferme refus d'Ould Abdel Aziz de se rendre au fait accompli ainsi que par sa nature putschiste et violeur de la constitution et des lois.
Cette menace présente parmi nous et ce danger patent, d’un homme réputé par ses voltefaces, ses états d’humeurs, son intransigeance et son ego, interpellent les autorités supérieures du pays à les prendre au sérieux.
C’est d’autant vrai qu'Aziz avait consacré son règne au cours des 11 dernières années, à exclure et à emprisonner les opposants, à nommer et limoger sans égard aucun à la compétence et à l’efficacité, bâtissant un pouvoir personnalisé où la dictature, le favoritisme et le copinage sont les maîtres mots.
Ces menaces se trouvent aussi justifiées par les propos virulents tenus par l’ex président Ould Abdel Aziz au cours de sa conférence de presse, tenue tardivement jeudi passé.
Une sortie médiatique placée sous le sceau de la menace, dés lors où l’ex homme fort de Nouakchott, a juré de ne pas faiblir et de lutter de toutes ses forces afin de s’imposer en sa qualité d’acteur politique puissant et incontournable.
Il suffit par ailleurs de prendre en considération l’empire financier considérable de Ould Abdel Aziz, dont il a reconnu l’existence, et la salle luxueuse et les chaises frappées d'or mibilisées pour sa sortie médiatique, pour réaliser le danger qui guette les mauritaniens, face à un l'homme fermement determiné à reconquerir contre vents et marées, lois et constitutions de nouveau le pouvoir
C’est vrai, puisque Ould Abdel Aziz n’est pas à son premier ou dernier coup d’Etat, qui pourrait cette fois prendre l’allure d’une balatajiye et de malfaiteurs payés pour créer le chaos.
Ces menaces se trouvent aussi justifiées par les propos virulents tenus par l’ex-président Ould Abdel Aziz au cours de sa conférence de presse, tenue tardivement jeudi passé.Une sortie médiatique placée sous le sceau de la menace, dès lors où l’ex-homme fort de Nouakchott, a juré de ne pas faiblir et de lutter de toutes ses forces afin de s’imposer en sa qualité d’acteur politique puissant et incontournable.
Il suffit par ailleurs de prendre en considération l’empire financier considérable d'Ould Abdel Aziz, dont il a reconnu l’existence, et la salle luxueuse et les chaises frappées d'or mobilisées pour sa sortie médiatique, pour réaliser le danger qui guette les Mauritaniens, face à un l'homme fermement déterminé à reconquérir contre vents et marées, lois et constitutions de nouveau le pouvoir C’est vrai, puisque Ould Abdel n’est pas à son premier ou dernier coup d’État, qui pourrait cette fois prendre l’allure d’une balatajiye et d’incitation de malfaiteurs sans foi ni loi payés pour créer le chaos.