On ne présente plus aujourd’hui ce haut commis de l’Etat qu’est le ministère mauritanien de l'Intérieur et de la décentralisation Mohamed Salem Ould Merzoug.
Resté des années dans l’ombre du palais, malgré sa riche expérience, ses compétences incontestées et son profil de mauritanien où se trouve conjugué la diversité, l’unité, le patriotisme, l’engagement et la volonté, l’homme n’a cessé d’étaler son savoir faire et sa manière moderniste de gérer les affaires publiques depuis son entrée, il y a 7 mois, dans le gouvernement du Premier ministre Ismail Ould Beddé Ould Cheikh Sidiya.
En effet, l’insécurité n’a pas tardé à disparaitre sous sa direction, débarrassant Nouakchott de toutes les sortes de criminalité qui frappaient Nouakchott et l’intérieur du pays, dont les viols fréquents suivis parfois par les meurtres.
Le grand commis de l’Etat qu’est Ould Merzoug a donné également et pour la première fois, aux Conseils régionaux et à la régions leur valeur et leur portée, en les mettant devant leur responsabilité dans le développement local.
Autant dire que sous le commandement Ould Merzoug, le ministère a connu une performance progressive inédite vers la perfection de l’action ; ce qui a permis à ce département de retrouver sa bonne santé et d’occuper les devants dans le service gouvernemental sur fond d’engagement sincère, de travail consciencieux et de transparence.
Ouvert, affable, attentif et décomplexé, Ould Merzoug est une bénédiction de la Mauritanie qui mérite admiration et encouragement pour préserver dans ses actions positives et curatives du mal mauritanien dans ses facéties.
Lui donner les coudées franches comme le fait le président Ould Ghazaouni c’est donner au département toutes les chances de réussir sa mission à 100% voire réaliser des acquis qui dépassent largement les attentes et qui consolideront la souveraineté du pays pour ne plus rien avoir à envier avec celle des Etats développés.
Enfin, faut-il rappeler ici que Ould Merzoug répond bien à l’adage selon lequel « tel père, tel fils », en présentant les mêmes grandes qualités que son feu père pour ceux qui l’ont côtoyé à l’époque et ont constaté chez lui les valeurs du mauritanien exemplaire, Paix à son âme.
Autant dire que l’ex-Commissaire de l’OMVS, le technocrate qu’est Ould Merzoug n’avait pas souvent eu l’occasion de faire profiter le pays de son riche bagage, malgré quelques années passées au palais présidentiel en sa qualité de chargé de mission.