
Il semble jour après jour que certains ministres d’après les élections présidentielles de juin 2019 et l'investiture du président Mohamed Ould Cheikh Ghazouani à la tête du pays, à la suite d’une transition pacifique, ne sont absolument pas à la hauteur des espoirs et attentes placés en eux, si on ne dit pas qu’ils étaient pires que leurs homologues