Il n’y a pas si longtemps, obtenir un simple document d’état civil relevait du parcours du combattant. Il fallait s’armer de patience, d’endurance, et souvent d’une bonne dose de résignation.
Au Hodh el Charghi, à plus de mille kilomètres de Nouakchott, la pauvreté touche encore près de 59 % des ménages. Moins d’un foyer sur cinq dispose de l’électricité et un quart des écoles primaires fonctionne sans point d’eau. Pourtant, c’est dans ce fragment de territoire oublié que se joue une part décisive du destin mauritanien.
Depuis quelques semaines, comme une symphonie de mauvais goût, certains Mauritaniens — de l’intérieur comme de la diaspora, et issus de toutes les communautés — s’évertuent à qualifier notre pays de pays d’apartheid.
La transparence de la vie publique ne doit pas rester un vain mot. Surtout quand il s’agit d’un marché si important que celui de l’approvisionnement du pays en hydrocarbures liquides.
Au début de ma carrière, je croyais que la réussite se mesurait surtout à la vitesse : la rapidité avec laquelle on atteint ses objectifs, la rapidité d’exécution, la rapidité d’apprentissage.
Depuis l'accession de Son Excellence le Président Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani au pouvoir, l'éminent journaliste, directeur de l'agence de presse Al-Wiam Al-Watani, le doyen Ismaïl Ould Rabani, a été à l'avant-garde de ceux qui ont fidèlement et sincèrement défendu le programme de celui dont la candidature a été portée par la majorité présidentie
Salamou Aleykoum. "Rabbi chrah lî sadrî wa yassir lî amrî wa hlul `uqdatan min lissânî yafqahu qawlî" (Ô mon Seigneur, ouvre ma poitrine, facilite ma tâche et délie ma langue pour qu’on comprenne mes paroles)
La Mauritanie est l’un des pays les plus jeunes du monde. Plus de 60 % des habitants ont moins de 25 ans. Pourtant, le droit du travail et les règles sociales qui encadrent leur avenir datent d’un autre siècle.