
Une soixantaine de chefs d’Etat et de gouvernement assistent, en ce 11 novembre 2018, au centenaire de l’armistice consacrant la reddition de l’Allemagne lors de la première guerre mondiale.
Une cérémonie qui, au-delà de son caractère symbolique, et de l’opportunité qu’elle offre à ces dirigeants de se rencontrer et de discuter de la gouvernance mondiale, permet également de mesurer le « poids » de chaque pays et, à travers lui, de son président.
Aucune surprise à voir le président Macron s’entourer des présidents qui comptent, ces « puissants » qui régentent le monde, s’appuyant sur leurs forces militaires, économiques et diplomatiques.
Sous cet angle, il est clair que la présence du roi du Maroc Mohamed VI, au premier plan, juste à côté du « puissant » mais combien controversé Trump, est une marque d’estime et de bonne présence diplomatique de ce pays maghrébin.
A part lui, les autres chefs d’Etat africains et arabes se perdent dans la « foule » des dirigeants venus faire acte de présence, ni plus ni moins. Après, ils pourront, bien sûr, aller faire du shopping.
La Rédaction

