
Le ministre de l’intérieur et de la décentralisation Mohamed Salem Ould Merzoug fait bien des envieux, en raison de ses grandes et incontestées qualités politiques, culturelles et sociales, qui font de lui, ce haut fonctionnaire dans lequel tous les mauritaniens sans distinction, d’Est à l’Ouest et du Sud au Nord se retrouvent.
C’est le citoyen modèle dont la Mauritanie toute entière a besoin de s’inspirer des qualités de magnanimité, de générosité, d’ ouverture, des compétences, du patriotisme et de l’engagement pour souder son unité, faire ses adieux à ses différences et regarder l’avenir avec espoir et optimisme.
Ould Merzoug a su instaurer le Tout sécuritaire dans les quatre coins du pays, faisant tourner la page à l’insécurité et à l’amateurisme des hommes en uniforme.
Ould Merzoug cumule bien de qualités qui font de lui une pièce maitresse du projet de société du Président Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, dont les mauritaniens, issus des milieux politiques, économiques et sociaux confondus et également sociaux ainsi que la communauté internationale sont émerveillés par la clarté de vision et l’approche de gouvernance judicieuse, envisageant tous réunis, bien maintenir par le soutien, le Président au pouvoir jusqu’à 2028, afin de parachever les grands chantiers révolutionnaires lancés à travers le pays.
On n’arrivera jamais à cerner les aptitudes de cette cheville ouvrière de la nouvelle République née un certain aout 2019 qu’est le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, qui représente incontestablement l’un des principaux artisans de la nouvelle Mauritanie reconciliée avec elle-même, avec comme toile de fonds une opposition, une majorité et un pouvoir, qui tâtent dans l’harmonie et le respect mutuel, une fois n’est pas coutume depuis l’indépendance, le terrain propice à l’avènement d’une Mauritanie sans discriminé, sécurisée, développée, reconciliée, unie et indivisible.
On comprend pourquoi autant d’atouts réunis à la fois par un seul homme, font des envieux, déterminés en vain à les ignorer et à s’acharner à les déformer, oubliant que la vérité est plus forte et que le peuple sait faire la différence entre le bien et le mal, le bon et le mauvais.
Ainsi, les chiens aboient et la caravane passe !