
On peut penser, à juste titre, qu’il y aura un avant et un après ce qui est désormais connu sous le nom de « scandale de la décennie 2009-2019 ». Le procès auquel on semble s’acheminer aura au moins comme conséquence celui de récupérer une partie de l’argent volé, même si certains penchent, à tort ou à raison, pour la prison comme punition de ceux qui ont trompé la confiance du peuple.
Autre gain non moins important : les responsables (ir)réfléchiront désormais à deux fois avant de suivre le mauvais génie qui les poussent à puiser dans les caisses de l’Etat, sachant que « la mère du voleur ne poussera pas toujours ses youyous ».