Les acquis du Général de division Dah Ould El Mamy sont un témoin vivant immortalisant à jamais ses grandes œuvres nationales

mer, 25/09/2019 - 09:00

Le secteur des douanes nationales a incontestablement connu au cours des dernières années, sous la direction de son Directeur Général, le Général de division Dah Ould El Mamy et de son équipe dynamique d'officiers, de sous-officiers et de préposés, son apogée, sa prospérité et ses performances jamais atteints de son histoire, poursuivant son ascension vers les sommets de l’excellence et de la perfection  jour après jour jusqu'à atteindre le point culminant du rendement et du travail bien accompli.

Il n’est pas aisé de consolider ces réalisations vivantes qui immortaliseront à la jamais les grandes oeuvres nationales de l’homme, par une autre personnalité qui n’est pas Ould El Mamy ; cet artisan qui a permis aux douanes nationales de montrer le meilleur d’elles-mêmes, de briller, d’enregistrer les succès les uns après les autres, de se moderniser et de se hisser au diapason des douanes les plus en vogue à travers le monde.

Il ne fait aucun doute que ces exploits sont le fruit des efforts constants d'une personnalité militaire et civile nationale, reconnue par son intégrité, son professionnalisme et sa passion pour le travail parfait pour faire progresser le pays vers plus de progrès et de prospérité.

Oui, le Général de division Dah Ould El Mamy a réalisé un succès sans précédent dans les annales de l’histoire de ce secteur, devenu l’un des plus grands affluents du budget de l’État au cours des dernières années.

En effet, le Général de division Ould El Mamy a pu faire du secteur des douanes  nationales un environnement commercial sûr au service de l’économie, reflétant le développement économique de la Mauritanie, dont le gouvernement s'est efforcé dans cette direction ces dernières années.

Faut-il bien rappeler ici pour l’histoire pour les générations présentes et futures et avec de grands caractères, que les recettes douanières de l'année dernière avaient frôlé la barre de 225 milliards Ouguiyas anciennes ; ce qui dépasse la masse des salaires des fonctionnaires et des agents de l’Etat, à la grande euphorie des autorités supérieures du pays, constamment préoccupées par ce fardeau.

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