
La lecture que je fais de la posture du "président des pauvres", au cours de sa Conférence de presse pourrait s’articuler autour de ces axes :
-Tenter de désinformer l’opinion internationale en semant le doute dans les esprits,
-Disqualifier son compère en l’accusant de forfaiture sur le plan du droit, pour le pousser à la défensive, et se poser en victime,
- Rassurer ses partisans hésitants à le rejoindre, pour laisser implicitement entendre qu’ils ne risquaient rien puisque lui Aziz était propre, blanc comme neige,
-Tenter, enfin, d’endormir la vigilance des adversaires…pour mieux réussir ses coups tordus ultérieurs qui ne manqueront pas,
-Faire un appel du pied aux nationalistes arabes par un mépris affiché pour la langue française...