De nombreux experts et analystes mauritaniens ont loué la récente nomination du Président Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, du cadre chevronné, expérimenté et engagé l'ingénieur Yahya Ould Ahmed El-Waghef, au poste de ministre de l'Agriculture.
Un large sentiment de satisfaction qui s’explique par les qualités innombrables dont jouit l'homme et sa riche expérience pour déclencher une véritable et prometteuse révolution agricole dans le pays.
Une nomination qui permettra incontestablement au Président de la République Mohamed Ould Ghazouani de capitaliser efficacement les deux années restées de son mandat, plombé par de grands défis, qu’il était impossible de prévenir à son arrivée au pouvoir en août 2019.
Des défis dont la levée avait coûté au budget de l’Etat des centaines de milliards, exclusivement orientés vers le social au détriment de l’économique et du développement et portant sur des interventions d’urgence pour venir en aide à des milliers de familles victimes de la pandémie du Covid-19 et des répercussions indirectes de la guerre russo-ukrainienne sur les prix mondiaux des denrées de première nécessité.
Des contraintes exogènes qui se sont répercutées aussi négativement sur le lancement de dizaines de grands projets de développement initialement inscrits à l’agenda du projet de société de Ould Ghazouani et dont les financements avaient été redirigés vers le social.
C’est l’ampleur de ces défis et leur persistance conjugués à l’arrivée du pouvoir de Ould Ghazaouni à un stade critique de son mandat, conjugués à d’autres facteurs, qui ont conduit, une grande partie des milieux politiques et économiques, voire de l'opinion publique, à s'accorder unanimement sur le besoin pressent du pays de trouver l’homme de la délivrance du persistant économique chaos, bien qu’au plan politique, de la lutte contre la corruption et des droits de l’homme, le pays se porte de mieux en mieux depuis 2019.
Pour eux, Ould Al-Waghef satisfait bel et bien le profil de l'homme qu’il faut à la place qu’il faut pour que la Mauritanie se libère définitivement du cercle vicieux de l’importation de ses besoins agricoles et pour se lancer à la conquête de l'autosuffisance alimentaire à court et moyen terme.
La providence serait aussi du côté de Ould Waghef. En effet, la nomination de l’homme aux commandes du moteur gouvernemental pour le développement agricole, vient à point nommé, en ce sens, qu’elle est actée en concomitance d’un changement propice des conditions climatiques et environnementales de la Mauritanie, qui ploie depuis des décennies et jusqu’à cet hivernage généreux 2022 sous les effets de la sècheresse, de la densification, du déficit pluviométrique et de la rareté des ressources hydriques et pastorales.
Un changement qui circonscrit en grande partie aujourd'hui le défi de la révolution agricole aux personnes hautement compétentes et décidés.
En effet, avec des hauteurs de pluies ayant parfois dépassé les 100 mm et couvrant l’ensemble du pays, Ould Waghef se trouve incontestablement face à des défis moindres, en ce sens qu’il aura à sa disposition non seulement les financements nécessaires pour initier une révolution agricole irréversible, mais aussi du temps, au grand soulagement du Président Ghazouani, dès lors, où son Département n’aura pas besoin de prospecter à divers endroits du pays à la quête de nappes d’eau souterraines, soient des actions qui prennent des mois et dont inappropriés pour un mandat qui file à la vitesse éclair et suscitant les convoitises des opposants.
Avec des millions de mètres cubes d’eau en surface, au niveau des barrages et les crues du fleuve, l’artisan de l’autosuffisance ne partira pas de zéro, d’où la nécessité pour Ould Waghef de s’armer de perspicacité pour optimiser le facteur humain dans cette révolution en maximisant tous les citoyens et en envoyant les ministres et les directeurs cultiver pour donner le bon exemple.
Ainsi pour dire, il ne fait aucun doute qu'Ould Waghef, qui avait été désigné par feu le Président Sidi Ould Cheikh Abdallahi à la tête de son gouvernement, et qui avait inscrit le dernier remaniement ministériel dans le cadre de la ferme volonté du Président Ould Ghazouauni d’insuffler un sang neuf dans l’action gouvernementale et de hisser le niveau de performance, d'efficacité et de proximité de l'administration du citoyen, n’a pas seulement pris conscience de la lourde responsabilité dont il a été chargée, mais s’est également engagé à ne pas décevoir le Président.
Et plus que cela, L’homme a signé un contrat moral avec lui-même, en vertu duquel, il ne ménagera aucun effort pour matérialiser sur le terrain de la réalité les espoirs et les attentes des Mauritaniens à savoir gagner leur vie dans leurs terroirs et dans leur pays, de l’exploitation de leurs propres terres et de vivre dignement à la sueur de leur front, des trésors inépuisables de leurs montagnes, leurs collines, leurs plaines, leurs vallées, leurs oasis, leurs champs, leur fleuve et leurs lacs et grâce aux bras de leurs enfants.
Ce qui signifie une volonté de fer de rompre à court et moyen avec la mauvaise habitude de dépendance alimentaire de l'Occident et des assistances offertes par les autres Etats ainsi que de la paresse et de l’oisiveté qui caractérise, tant les gouvernants que les gouvernés.
Une détermination sincère qui sera toujours là pour que la Mauritanie subvienne à ses besoins en céréales, légumes, fruits, dattes, fourrages et autres produits importés à des prix exorbitants de l'étranger, tout en veillant à ce que le pays atteigne dans le moyen et long terme le stade de l'exportation de ses propres cultures et produits à l'échelle régionale et internationale.
Faut-il souligner enfin, que la nomination largement saluée de Ould Waghef qui a suscité une grande satisfaction dans les milieux politiques et économiques, a malheureusement été instrumentalisée, comme à l'accoutumée, en tant qu’appât par certains médias spécialisés dans le chantage et l’arnaque, dans une tentative de présenter l'homme aux mains propres sous de faux draps et déplorables étiquettes
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Ces milieux médiatiques mauritaniens hypocrites, qui pratiquent la calomnie, la fabrication et la distorsion comme gagne-pain, se sont cependant retrouvés devant une vague populaire de satisfaction qui a balayé leurs canulars et affecté profondément leur crédibilité.
En effet, leur démarche absurde n’est pas parvenue à écorner l'intégrité de l'homme et sa capacité à travailler pour concrétiser l'engagement pris devant le Président Ould Ghazouani de faire de la révolution agricole mauritanienne l’un des acquis exclusifs du Président Ould Ghazouani.
Un engagement consistant à transformer la Mauritanie dans les années à venir en un Eden où il faut beau vivre, en un pays qui produit localement ses besoins en céréales, légumes et autres produits agricoles, voire harmonise la dynamique du décollage agricole avec les perspectives prometteuses du take-off placé dans l’exploitation très proche du pétrole et du gaz à l'horizon 2024, vers une ère où le citoyen se sent bien, en sécurité et jouissant d’un meilleur niveau de vie, dans une plus large liberté, Incha Allah