La mobilisation financière internationale pour la force armée des pays du Sahel a atteint 414 millions d’euros à l’issue d’une conférence à Bruxelles. Mais la question de la pérennisation n’a pas été tranchée.
Au lendemain de l’attaque islamiste qui a tué deux soldats français, la ministre de la Défense nous dévoile le bilan de l’opération Barkhane lancée à l’été 2014.
Pas moins de 32 chefs d’Etats et de gouvernements étaient présents ce matin à Bruxelles pour une réunion du G5 Sahel d'une ampleur inédite. Objectif : réunir des fonds pour donner un coup de pouce à la force conjointe au Tchad, au Mali, au Burkina, au Niger et à la Mauritanie, chargée de lutter contre les groupes jihadistes au Sahel.
Une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernement se réunissent ce vendredi 23 février à Bruxelles. Objectif : contrer la menace persistante des groupes djihadistes dans la région sahélienne et renforcer le soutien politique et financier aux pays du Sahel : Mali, Niger, Burkina Faso, Mauritanie et Tchad.
Une vingtaine de chefs d'Etat et de gouvernement se réunissent vendredi à Bruxelles pour renforcer leur soutien politique et financier au G5 Sahel qui lutte contre la menace persistante des groupes jihadistes dans la région sahélienne.
L’opposant et militant anti-esclavagiste Biram Dah Abeid a été brièvement interrogé ce mardi par la Sûreté mauritanienne. Un épisode qui fait suite à trois journées de manifestations organisées à Nouakchott par son mouvement, l'Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA).
La Mauritanie, probable hôte du président français Emmanuel Macron en juin prochain. Que court chercher le président français en Afrique, serait-on tenté de dire. Emmanuel Macron parle, lui, d’une redéfinition des relations entre l’Afrique et la France.
Le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, réitère sa ferme volonté de respecter la Constitution en ne briguant pas de 3e mandat en 2019, dans un entretien exclusif avec l’hebdomadaire panafricain «Jeune Afrique» paru ce lundi.
L’homme d’affaires donne des sueurs froides au président mauritanien, Mohamed Ould Abdelaziz, qui a décidé de l’abattre juridiquement et médiatiquement. Se tenant toujours en retrait des micros, il a accepté de recevoir l’Opinion, pour se défendre.