Un accord de coopération a été signé aujourd’hui mardi matin 27 Mai, au siège de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) à Rabat, entre le Parti mauritanien El-Islah et l'USFP, l’un des plus importants partis politiques au Maroc.
La Coordination des Associations culturelles de langues a exprimé dans une déclaration rendue publique ce vendredi 23 mai 2025, sa vive préoccupation face au débat qui agite depuis quelque temps l’opinion nationale, à propos du statut des langues en Mauritanie.
L’Europe et le Monde arabe sont des “voisins” de longue date, sur le triple plan géographique, spirituel et culturel. Une proximité qui, nonobstant des querelles de voisinage parfois tragiques, n’en a pas moins tissé d’indéniables liens multiples entre les deux rives de Bahr Roum (la mer des Romains).
"Le Cercle des Idées", un espace de rencontre et de réflexion dédié à l’élite mauritanienne, réunissant des esprits engagés autour des grandes questions qui façonnent l’avenir du pays, a rendu public, la synthèse des débats de ses membre sur la question des trafics illicites en Mauritanie
La Coordination des Amis de Ghazouani à Krou et Barkeol salue le programme de développement de Son Excellence Monsieur le Président de la République et du Gouvernement.
Ce qui devait être une simple visite protocolaire du ministre de la Santé s’est mué en révélateur d’un malaise institutionnel profond. Au cœur de la controverse : la marginalisation publique et politique du maire et député Ghassem Ould Bellali, figure emblématique de la ville.
Mesdames et Messieurs les dirigeants et membres du Conseil d’administration de Aurora, très estimés invités, distingués Nobel, Pulitzer et récipiendaires des Nations-Unies, honorable assemblée !
Le 7 mai 2025, les couloirs de l'Université Cheikh Anta Diop à Dakar ont accueilli, sous la supervision d'un groupe d'enseignants distingués dirigé par le doyen de la Faculté d'économie et de gestion, la soutenance de thèse en ingénierie financière et économique du chercheur Dr.
Aujourd’hui, les Haratines refusent l’appartenance obligatoire à une identité dominante qui ne les a jamais pleinement reconnus. Ils refusent d’être assignés à une place subalterne dans un récit national qui les marginalise. Ce refus n’est ni un rejet de la nation, ni une volonté de division : c’est une affirmation de dignité.