Les images ci jointes sont édifiantes pour montrer l’ampleur des abus physiques et moraux faits par les féodaux contre ce qu’ils considèrent comme étant « des esclaves »
Des personnes d'ascendances serviles auraient été lynchées mercredi soir dernier, 7 février courant, dans la localité de Medbougou, pour avoir refusé des coutumes esclavagistes laadani ; pratiquées dans le milieu Soninké .
Le tribunal de la wilaya du Trarza, au sud du pays, a levé la séance tenue ce matin du mercredi 7 février, au cours de laquelle le commandant de la brigade de gendarmerie de Rosso, Brahim Ould Elkory a été entendu sur les accusations portées contre lui à propos de l’affaire des "conversations et correspondances téléphoniques fuitées" à partir des tél
Le chef de file de l’opposition démocratique en Mauritanie, El Hacen Ould Mohamed, a appelé à un dialogue politique permettant de s’accorder sur un programme pouvant sortir le pays de la situation actuelle dans laquelle il se trouve.
Bientôt deux siècles, depuis que l’esclavage a été aboli. Cependant, il y a des survivances de cette pratique moyenâgeuse en Mauritanie, précisément au village de Dawalel, dans la région de Gorgol, à 5 km du Fouta.
Mercredi 07/02/2018 une marche pacifique des militantes, et sympathisants d’IRA s’est ébranlée à partir du garage « Camara » à destination du préfet de Elmina (gigantesque département périphérique de Nouakchott).
Alakhbar – Le tribunal de la wilaya du Trarza a convoqué le commandant de la brigade de gendarmerie à Rosso, Brahim Ould El Kory, à la suite d’une déposition introduite par le collectif de défense de l’ex-sénateur Ould Ghadda, devant cette juridiction, après la garde du parquet de ladite plainte.
L’érudit Cheikh Demba Diarra est normalement convoqué ce lundi à 9h au commissariat du 5ème à côté de la mairie. Arrivée au commissariat, il a été aussitôt trimballé vers le palais de justice, puis là, à cet instant, on apprend qu'il est renvoyé au commissariat du 5eme une nouvelle fois. Pourquoi ? Mystère ! Quel pays mon Dieu ?
Le parti de l’Alliance populaire progressiste (APP) en Mauritanie a dénoncé le meurtre d’un pêcheur sénégalais par les gardes-côtes mauritaniens samedi dernier et l’a qualifié de « crime ».