Une spécialiste en tatouage s’est rendue au chevet de Khadija Okkarou, l’adolescente marocaine victime présumée d’un viol collectif et d’une longue séquestration. Sa version prend le contre-pied de celle de la jeune file et refroidit ses soutiens, alors que d’autres dénoncent une campagne de dénigrement.